La fracture du poignet est chez l'adulte la fracture la plus fréquente. Cette fracture survient le plus souvent lors d'une chute avec réception sur la main. Deux types de patients sont les plus sujets à cette fracture :
1 : les sujets agés et plus spécialement les femmes en raison de l'ostéoporose secondaire à la ménopause ; le sujets agés chutent le plus souvent de leur hauteur et le tableau clinique le plus fréquent est une fracture du radius en un seul endroit avec parfois une fracture de la partie distale du cubitus.
2 : les adultes jeunes et plus particulièrement les hommes ; les fractures sont souvent plus complexes, le traitement plus difficile car ce sont des accidents à haute énergie (accidents de voie publique, d'un accident, 'une pratique sportive à risque ou d'un accident du travail et de grande hauteur).
1 : les sujets agés et plus spécialement les femmes en raison de l'ostéoporose secondaire à la ménopause ; le sujets agés chutent le plus souvent de leur hauteur et le tableau clinique le plus fréquent est une fracture du radius en un seul endroit avec parfois une fracture de la partie distale du cubitus.
2 : les adultes jeunes et plus particulièrement les hommes ; les fractures sont souvent plus complexes, le traitement plus difficile car ce sont des accidents à haute énergie (accidents de voie publique, d'un accident, 'une pratique sportive à risque ou d'un accident du travail et de grande hauteur).
Comment faire le diagnostic d'une fracture du poignet ?
Après une chute ou un choc, votre poignet va apparaître déformé, gonflé, douloureux et sa mobilisation sera impossible. Parfois, vous parviendrez à encore le mobiliser avec quelques douleurs seulement. Bien que la douleur soit le premier signe d'une fracture, aucune relation directe n'existe entre la gravité de votre fracture et la douleur que vous pouvez ressentir. La chute que vous avez subie peut amener des douleurs importantes en raison d'une entorse de votre poignet sans que celui-ci ne soit nécessairement cassé.
Au cours de votre consultation avec le docteur Victor KATZ à Paris ou à Tremblay-en-France, votre orthopédiste suspectera une fracture si votre poignet a un aspect déformé ; cette suspicion sera également présente si votre poignet est gonflé.
La radiographie standard permet de visualiser rapidement la fracture, et va déterminer le traitement adéquat. En cas de doute ou en cas de nécessité pour préciser le type de fracture, un scanner sera demandé.
Quel traitement pour une fracture du poignet ?
En cas de fracture du poignet, votre chirurgien-orthopédiste spécialiste des membres supérieurs, le docteur KATZ dispose de plusieurs options thérapeutiques. Votre traitement sera soit orthopédique (mise en place d'une immobilisation plâtrée ou d'une résine) ou chirurgical (intervention avec mise en place de matériel d'ostéosynthèse : broche, vis, plaques...). La décision dépendra de votre profil (âge, état physiologique, qualité de l'os, situation professionnelle...) et de la fracture (siège, type du déplacement).
1 : Traitement par immobilisation
Si votre fracture n'est pas ou peu déplacée, le docteur KATZ, chirurgien du coude, du poignet, de la main et de l'épaule à Paris et en région parisienne, vous proposera un traitement par immobilisation. Cette immobilisation peut être un plâtre ou une résine dont l'objectif est de mener la fracture à la guérison. Votre immobilisation durera environ 6 semaines ; un suivi régulier en consultation et des radiographies de contrôle sont nécessaires pour surveiller tout déplacement secondaire et surveiller la guérison. Une fois l'immobilisation terminée, des séances de rééducation vous seront parfois prescrites pour favoriser la récupération de l'ensemble des amplitudes de votre poignet.
2 : Traitement chirurgical
Si votre fracture est instable, déplacée ou compliquée (fracture ouverte, luxation associée du poignet, fracture articulaire), un traitement chirurgical est nécessaire pour repositionner les fragments osseux et rendre au poignet sa forme normale.
Pour réaliser cette intervention, votre hospitalisation sera de courte durée ; elle sera soit réalisée en ambulatoire soit nécessitera une nuit passée à l'établissement chirurgical. L'anesthésie sera loco-régionale, seul votre bras concerné sera endormi. Plusieurs techniques chirurgicales sont à la disposition de votre chirurgien orthopédiste et le choix sera effectué en fonction du type de fracture, de votre profil et de vos contraintes professionnelles ou sportives pour vous permettre de retrouver une vie normale dans les meilleures conditions au plus vite.
Le traitement chirurgical nécessite l'utilisation de matériels pour stabiliser les fragments osseux. Le Dr KATZ pourra utiliser des broches métalliques, une plaque vissée ou bien un dispositif externe de maintien des os (fixateur externe).
Au cours de l'intervention, la bonne réduction de la fracture est contrôlée lors de l’intervention par des clichés radiologique ou par la visualisation directe de l’articulation à l’aide d’une caméra miniaturisée (arthroscopie). En fin d'intervention, une attelle en résine ou en plâtre à la fin de la chirurgie.
Quelles sont les soins post-opératoires du traitement chirurgical de la fracture du poignet ?
Vous reviendrez en rendez-vous de contrôle dans les 10 premiers jours pour vérifier la bonne tenue du matériel et la qualité de la réduction à l'aide d'une radio. Des rendez-vous réguliers de contrôle seront réalisés jusqu'au retrait de l'immobilisation, généralement au bout de 6 semaines. Le Dr KATZ, chirurgien orthopédiste, programmera également le retrait du matériel d'ostéosynthèse en fonction du type de synthèse utilisé. La rééducation sera souvent nécessaire.
Quels sont les risques de ce type d'intervention ?
Comme pour toute intervention chirurgicale, des complications post-opératoires peuvent survenir parmi lesquelles :
- Consolidation en mauvaise position : elle est fréquente du fait de la mauvaise qualité de l’os fracturé : le plus souvent elle ne nécessitera par d’autre traitement, quelques fois à distance d’autres interventions pourront être proposées si une gêne persiste,
- une récupération difficile de la mobilité,
- un déplacement secondaire de la fracture,
- une algodystrophie : elle correspond à une main gonflée, douloureuse avec transpiration, puis raideur. Cette évolution qui survient dans 15% à 20% des cas est préoccupante (douleurs résiduelles, raideur). Elle peut s’étendre sur plusieurs mois.
- une infection locale ou générale.
Cette fiche pédagogique ne remplace en rien une visite chez votre médecin, lui seul est à même d’établir un diagnostic pertinent et de vous proposer un traitement adapté à votre situation clinique.